Acquisition d'un EL350

Par exemple ici la masse d'acier rapide reoresente 20 % de la lasse totale. Donc 80 % de cochonium apauvri... 



[size=46]https://www.otelo.fr/outils-tour-en-acier-rapide-cobalt-8-carbure-brase/fanocarb-18112512/SF-ID-00040110/ref-3633.html[/size]


[size=46]C'est dingue, je ne trouve quasiment rien sur Internet. [/size]


[size=46]Paradoxalement, Internet est une veritable machine à oublier... [/size]


[size=46]Je regarderai mes bouquins de technologie du lycee. Je serais étonné su'on ne parle pas de ça. [/size]


[size=46]Les forets cobalt sont de plus en plus souvent realises avec une queue en acier mi-dur. Vous avre dû tous le remarquer. Le moindre patinage dans un mandrin et le foret est mort parce que sa queue est pleine de bavures. [/size]

Extraits de Technologie Professionnelle Generale, Castell, Dupont,  1977,Desforges, Paris. 

Un exemple

Bonjour,
J'ai le même en 250 ou 350je ma rappelle plus;je te ferais une photo;j'ai souvenir de ces tuyaux cuivres qui en centralisé lubrufie la bielle
Pour les coulisseaux il faudra que je regarde
Le mien quasiment neuf n'a fonctionné qu'une ou 2 fois à vide
J'avais un petit problème sur la manivelle qui s'emmanchait mal dans le carré;il est essentiel de faire un ou deux cycles avant de le lancer
Certains ont amélioré le relevage avec un ressort;notre ami rapelle qu'il faut incliner un peu l'outil pour qu'il ne talonne pas au retour ;je crois avoir
compris;un peu comme en surfaçage sur une fraiseuse;le problème c'est qu'après il faut rerègler la tête

Comme tu dis j'ai bien remarquer que quand le foret patine dans le mandrin il y a des bavures, j'avais compris que cela était due au fait que les forets n’étais pas tremper sur la totalité de la longueur. Les deux cas existent t'il ou ais-je été mal informée?
Je vois tous le temps derrière l'outil une bague, quelle est son intérêt? Je ne voit pas d'avantage a sa présence et elle réduit la surface sur laquelle l'outil est en appuis ce qui augmente le risque qu'elle glisse.
J'ai déjà du voir l'ajout d'un ressort sur le porte battant quelque-part, si je ne dit pas d'erreur cela servait lors de grande vitesses a s'assurer que le battant soit revenue a sa place avant que l'E.L. commence sa prochaine coupe. C'est bien cela?

Les forets de qualité ne se bouffent pas au premier patinage. Mais je n'en sais pas plus. La plupart des forets a queue conique pas chers se tordent et cassent au niveau du tenon. Et ça se ressoude bien. Donc ce n'est pas du rapide...

Par definition du coefficient de frottement, à iso-coefficient de frottement et iso-force de serrage, la surface de portée n'impacte pas la tenue de l'outil. Mais justement, je pense que la tenue pourrait etre augmentee en reduisant la section parce qu'à cause de l'élasticité du metal, il y a deformation qui conduit à un leger encastrement d'une piece dans l'autre. On aurait donc affaire à une pseudo-liaison par obstacle.

Tout ça est au conditionnel parce qu'en fait je n'en sais rien.

Pour le ressort, je ne sais pas.

Bonjour,
C'est bien un EL350.Comme il est positionné dans mon sous sol atelier je ne peux pas ouvrir les trappes qui donnent accès au graissage centralisé



Pour faire l'essai tu peux graisser les coulisses avec un pinceau en les déplaçant à la manivelle;en fonctionnement il vaut mieux éviter car un coup de bélier t'enverra valser;le déplacement n'est pas "rapide" mais ç'est nettement plus rapide qu'une table de fraiseuse
Désolé de ne pas pouvoir te faire les photos souhaitées;son déplacement serait tout un bazard

Dommage de ne pouvoir regarder le système de lubrification mais c'est gentil d'avoirs proposer. Compte tenu des copeaux que j'ai trouver partout dans la machine je ne demande si ce serra la même chose au fond de l’huile, je ne l'ai pas encore changer mais si effectivement je trouve le fond remplit de débris je pensait faire quelque-chose pour fermer les ouvertures. Je vois que tu a fabriquer une plaque pour couvrir l'ouverture du coulisseau, cela veut t'il dire qu’effectivement les copeaux arrivent a se retrouver dans l’huile?

Bonsoir,
La tôle au dessus y était;ce n'est pas de moi;je l'ai ouvert il y a quelques années; de mémoire il y a une petite pompe à huile actionnée par une courroie qui pousse l'huile vers la bielle et les autres trucs en mouvement dont les coulisseaux;par gravité l'huile redescend dans la bâche;il y a une crépine qui limite l'entrée des copeaux dans le circuit;il n'y a pas beaucoup de pression;les capillaires en cuivre étaient le montage classique sur la pluspart des machines;il y en a aussi sur les vieux tracteurs c'est facile à bidouiller;dans l'Armée les roulantes qui fonctionnaient à l'essence avaient tout un réseau en cuivre et olives en laiton pour alimenter les brûleurs

Aujourd'hui j'ai continuer sur l’étau limeur, pour comprendre comment est sensé être raccorder les tuyau de lubrification aux lardon je les ais démonter avec la coulisseau. Maintenant c'est compris, le bout de tuyau que j'avais trouver est bien celui qui manquait, d'un cote c'est filetée dans le lardon et de l'autre c'est raccorder avec un dudgeon. La mauvaise nouvelle est qu'il va falloir en fabriquer deux autres, ils sont couper au niveau du filetage. Cote droit il y a un écrou qui fait presse étoupe sur le tuyau et celui de derrière a été caser.

J'ai trouver une longueur de tube cuivre recuit de 6mm avec laquelle j'ai essayer de refaire les nouvelles pièces mais je n’ai pas réussi a le fileter. En essayant de le fileter le tube s’écrase et quand je met un foret dans le tube pour éviter de l’écraser j’arrache tout. Il y a surement quelque-chose qui ne vas pas mais dans l’immédiat je ne voit pas quoi. Je suis donc ouvert a tout conseil concernant le filetage du cuivre.

Il faut fileter du cuivre ecroui et ensuite le recuire aux endroits où on veut le couder.