Pièce sur mesure

Montage autrefois tres utilisé sur les raboteuses à bois. 




De tres nombreux accidents tres graves ( j'y ai d'ailleurs eu droit : 6 tendons coupés, 5 heures d'operation chirurgicale) ont condamné les montages de fers à brides qui utilisaient ces ecrous. 

Le problème, c'etait les brides, pas les écrous. Mais on a oublié les avantages de ces ecrous faciles à fabriquer et leurs qualités spécifiques

La pièce que je veux créer est elle trop longue ? Devrais je diminuer la portance ?

Sur la Cincinnati, je mets des rallonges, parfois deux en serie jusqu'à environ 150-160 mm. Ça commence à vibrer. 

J'ai d'ailleurs en projet un arbre long (300 mm de portee) avec lunette en bout pour pouvoir rectifier des pieces plus larges.

TRD a écrit:Sur la Cincinnati, je mets des rallonges, parfois deux en serie jusqu'à environ 150-160 mm. Ça commence à vibrer. 

J'ai d'ailleurs en projet un arbre long (300 mm de portee) avec lunette en bout pour pouvoir rectifier des pieces plus larges.

C’est ce que j’ai fait sur la mienne, un déport de 280 à 330 avec une contre pointe ( palier de 25 ) je suis précis avec je rectifie mes lames de couteau pliant à 2,94 mm. c’est des bandes qui passent abrasives de 50 x 2000 à grains différents suivant le travail à effectuer, je peux mettre des bandes grain 24 et faire des passes de 1 mm sans faire chauffer là pièces. Et l’usure des bande est presque inexistante !

Ca ressemble beaucoup à ce que je veux faire. Mais moi, j'ai choisi une poutre en tube carré de 100 de recuperation que j'avais en stock.
 Avec le meme reglage de roulement pour ne pas contraindre l'arbre de la broche.

J’ai aussi mis une tête de perceuse à colonne avec un nouvel axe fix et un pinces er25 pour faire fraiseuse sur matière douce et de l’affutage de fraises en carbure de 3,17 mm https://youtu.be/0z29kaizob0

Mets une tole sous le plateau magnetique. Sinon les glissieres vont t'en vouloir. 

Les poussieres de bois rentrent partout. 

Tu me diras que les boues de rectification aussi... 

Oui, mais le bois gonfle avec l'huile et finit par tout bloquer.

Il y a dans le Vercors a une dizaine de kilomètres du Col de Rousset des carrières romaines accessibles seulement à pied. On y voit la façon dont les romains extrayaient des blocs enormes. De petits trous qu'ils remplissaient d'eau. Le gel faisait le boulot. 

Mais en Égypte, il ne gele pas. Le Egyptiens enfonçaient des pieux en bois dans les trous à la masse. Et il suffisait de les arroser pour decouper les blocs qui on fait les pyramides... 

Le bois qui gonfle brise tout.

Oui j’en ai mis partout tôles et baguettes de protection anti poussière. Oui on a des moulins huiles d’olives dans le sud et certain Pierres de meules était sorti de roche grâce au bois et à l’eau et après tailler à la massette

Pour le cône j’ai pu prendre des vrais mesures précises au 0,01.
Pour un déplacement de 1mm sur le cône je perds 0,125 de rayon, pour 2 mm de déplacement je perds 0,250 mm de rayon, pour 4 mm je perds 0,500mm de rayon et pour 8mm je perds 1 mm de rayon. Le cône au plus gros fait 22,73 et il est long de 24,00 mm

Conicité = 2 arctangente ( difference de rayon/ difference de plan de jauge) 
 = 2 Atan (0, 125/1) 
2 x 7,125 
= 14,25 degrés. 

14,25 degrés, ça commence à être fortement alcoolisé... 

TRD a écrit:Conicité = 2 arctangente ( difference de rayon/ difference de plan de jauge) 
 = 2 Atan (0, 125/1) 
2 x 7,125 
= 14,25 degrés. 

14,25 degrés, ça commence à être fortement alcoolisé... 

Merci !