Moteurs tri bi-vitesses, les différents types ?
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Re: Moteurs tri bi-vitesses, les différents types ?
Bonjour,
Je crois que l'expression type Drouard vient du monde des De Vallièristes car cette marque montait en même temps des moteurs type Dalhander et des moteurs à double enroulements de marque qui étaient de marque Drouard.
Ces doubles enroulements, par leur faculté de bi-tension, présentaient l'avantage pour le client acheteur de pouvoir s'insérer facilement dans des ateliers anciens qui étaient encore en 220 Tri quand ce n'était pas panaché batiment par batiment.
C'est facile à les repérer de l'extérieur sur ces tours car la gamme de vitesses lentes est au quart de la gamme rapide. En Dalhander c'est toujours la moitié.
Merci encore à nos deux Hommes Ressources qui mériteraient bien les Palmes Académiques tant leurs apports sont précieux.
Bonne journée. Papeteme
Je crois que l'expression type Drouard vient du monde des De Vallièristes car cette marque montait en même temps des moteurs type Dalhander et des moteurs à double enroulements de marque qui étaient de marque Drouard.
Ces doubles enroulements, par leur faculté de bi-tension, présentaient l'avantage pour le client acheteur de pouvoir s'insérer facilement dans des ateliers anciens qui étaient encore en 220 Tri quand ce n'était pas panaché batiment par batiment.
C'est facile à les repérer de l'extérieur sur ces tours car la gamme de vitesses lentes est au quart de la gamme rapide. En Dalhander c'est toujours la moitié.
Merci encore à nos deux Hommes Ressources qui mériteraient bien les Palmes Académiques tant leurs apports sont précieux.
Bonne journée. Papeteme
Papeteme- Modérateur
- Messages : 755
Date d'inscription : 25/07/2010
Re: Moteurs tri bi-vitesses, les différents types ?
Bonjour,
Drouard a été aussi célèbre en son temps que Leroy-Somer l'a pu l'être ensuite.
Dans les années 70, Drouard était présent dans les machines de boulangeries (pétrins et broyeurs) et dans les groses machines agro-alimentaires pendant que leroy (pas encore leroy-somer) commençait à poindre dans les machines à bois talonné par Unelec qu'on retrouvait dans les tronçonneuses (à fer).
C'était la bonne époque des moteurs réparables à 100% : pas de roulements qui bouffent les flasques (l'alésage était bien ajusté), pas de ventilateurs qui fondent (ils étaient en alu ou en métal), pas de clavetage bouffés (bon ajustage); pas de moteurs qui chauffent (poid de cuivre important) et alors me direz vous pourquoi les moteurs grillaient : essentiellement par faute de celui qui s'en servait à cause de manque d'une phase la plupart du temps et donc par le manque de protection.
Drouard a été aussi célèbre en son temps que Leroy-Somer l'a pu l'être ensuite.
Dans les années 70, Drouard était présent dans les machines de boulangeries (pétrins et broyeurs) et dans les groses machines agro-alimentaires pendant que leroy (pas encore leroy-somer) commençait à poindre dans les machines à bois talonné par Unelec qu'on retrouvait dans les tronçonneuses (à fer).
C'était la bonne époque des moteurs réparables à 100% : pas de roulements qui bouffent les flasques (l'alésage était bien ajusté), pas de ventilateurs qui fondent (ils étaient en alu ou en métal), pas de clavetage bouffés (bon ajustage); pas de moteurs qui chauffent (poid de cuivre important) et alors me direz vous pourquoi les moteurs grillaient : essentiellement par faute de celui qui s'en servait à cause de manque d'une phase la plupart du temps et donc par le manque de protection.
labobine- Membre confirmé
- Messages : 48
Date d'inscription : 19/07/2010
Re: Moteurs tri bi-vitesses, les différents types ?
Bonjour,
J'ai travaillé dans une entreprise où cohabitaient les 2 tensions en tri. L'atelier de soudage par points était équipé en 220 tri.
Le reste en 380. J'ai sans doute entendu parlé de Drouard à cet endroit.
Dans mon coin, il y a un atelier de rebobinage perdu en pleine campagne.
Il existe toujours bien que l'activité électricité industrielle ait déménagé dans un centre plus important.
Cette conversation me donne envie d'aller y faire un tour, l'ancien patron étant toujours sur place.
J'ai travaillé dans une entreprise où cohabitaient les 2 tensions en tri. L'atelier de soudage par points était équipé en 220 tri.
Le reste en 380. J'ai sans doute entendu parlé de Drouard à cet endroit.
Dans mon coin, il y a un atelier de rebobinage perdu en pleine campagne.
Il existe toujours bien que l'activité électricité industrielle ait déménagé dans un centre plus important.
Cette conversation me donne envie d'aller y faire un tour, l'ancien patron étant toujours sur place.
wadelse- Chevronné
- Messages : 90
Date d'inscription : 03/04/2012
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