Vis d’étaux

Helas, un acier correct va couter aussi cher qu'un etau d'occasion.

tous à fait .......il à l'air de vouloir le réparé pour x raison



tu le sait bien vue que tu restaure t'ont matériel ont n'ai pas toujours raisonnable
j'en fait l'expérience en ce moment avec ma FH 1




je cite que l"ont trouve souvent une merveille en brocante ...parfois pas bien loin de chez soi ....bien sur il faut être le premier venir au moment ou les vendeur s’installe ça veut dire 6 / 7 h après les bonnes affaire sont faite

les gros modèle intéresse pas tous le monde du fait du poids prévoir un petit chariot pliable ...........

L'avantage de l'ancien restauré à fond, c'est que ça va durer. 


C'est dommage que tu sois si loin. Il  y a une FV3 a 1000 balles à-côté de Valence. Meme pas le prix d'une chinoiserie qu'il faut de toutes façons beaucoup bricoler avant de faire des copeaux avec. J'ai envoyé un mot au vendeur. Il ne savait meme pas ce qu'il vendait...

Je tiens à présenter mes excuses, vu la qualité du grain de l’acier je penser que c’était de la fonte, mais c’est de l’acier ! J’étais près à le jurer mais le teste de là limaille est imparable ! Donc chanfrein à Coeur et soudure de l’espace !
Je me demande si un recuit de la pièce et une tempe par la suite est nécessaire ? 🧐

Vis remise en place et teste, suffisant pour la forge je pense !

Il n'y a pas d'excuse a présenter. Tout le monde peut se tromper. 


Pour le traitement thermique, je suis peu convaincu. On ne sait pas à quel acier on a affaire. Donc on va le faire sur quelle bases ? Si c'est un acier dur, et ça devait l'être, on risque de faire un sur-revenu et la vis aura tendance à s'allonger un peu trop facilement. 

Si le soudage a été réalisé en multipasses (comment pourrait en etre autrement sur une piece de cette taille), la seconde passe a  revenu la premiere, la troisième a revenu la seconde et la premiere, etc.  

Quand je veux eliminer le maximum de tensions je fais deux passes de plus en soudage et ensuite je les enleve en meulage. Du coup toute la zone fondue residuelle est revenue. 

Un autre avantage, c'est qu'un cordon  de soudure qui n'est pas lisse, en plus d'etre bourré de contraintes residuelles a tendance à concentrer les contraintes de service.  
Une fois usiné ou meulé, la piece n'a plus de discontinuité de forme et les concentrations de contraintes dues à la forme disparaissent. 

Enfin, le meulage chauffe la piece et realise un (petit) revenu de la surface. 

Un autre truc consiste a marteler la soudure quand elle est encore rouge. Cela reduit ,  annule parfois les contraintes de traction qui font naturellement fissurer la zone fondue. 

Evidemment ce sont des methodes empiriques, mais des examens avec des moyens d'investigation serieux montrent qu'en general ça ameliore la qualité des cordons.

Merci pour toutes ces informations. L’étau en tout cas fonctionne très bien !

si tu avait mis la photo de l’étau ont aurais su de suite que pas du cochonuim mais un acier de qualité coulé

Je ne savais pas que l’acier coulé existait, qu’elle est là différence entre l’acier couler et la fonte, aussi bien en therme de fabrication que d’utilisation ?

L'acier se moule beaucoup moins facilement que la fonte parce qu'il est beacoup plus visqueux à l'etat liquide. Concretement, ça oblige à faire des parois beaucoup plus epaisses. 

L'acier etant plus cher que la fonte dont il derive, on obtient des pieces beaucoup plus couteuses et avec beaucoup plus de contraintes de formes. Mais elles sont plus resistantes. 

Les aciers inoxydables sont aussi parfois moulés. Notamment les nuances refractaires. C'est aussi le cas de certains alliages de nickel, comme les Inconel. Par exemple pour faire des turbocompresseurs à tres hautes performances pour la competition. Passé 720 degrés, les inox ordinaires se detruisent rapidement. Au-delà de 950 degrés C, la fonte au nickel ne resiste plus. Il faut utiliser des inox refractaires. Passé 1050, même les meilleurs inox refractaires ne tiennent plus. Il faut choisir des alliages de nickel. Mais meme s'ils resistent aux atmospheres oxydantes, ils finissent par fluer. A ces temperatures, les contraintes thermomecaniques et meme la gravité finissent par avoir raison de ces materiaux d'exception.

J'ajouterais qu'au depart tous les aciers sont coulés en lingotieres avant d'etre laminés. 

Dans les acieries modernes, grace à la coulee continue, on n'a meme plus besoin de faire des lingots, l'acier est coulé sous forme de tapis puis part dans les laminoirs pour devenir directement des demis-produits. 

Une video où il y a, à mon avis, une connerie... Ce n'est pas du magnesium qu'on ajoute à l'acier, mais du manganèse.