Acquisition d'un EL350

Le week-end dernier j'ai fait l'achat d'un étau limeur Cincinnati Chomienne EL350.


Une restauration sera a prévoir mais dans un premier temps juste le nécessaire pour pouvoir faire les premier copeaux. Après avoir ouvert tous les trappes et tout regarder de prés la machine j'ai trouver un problème pour la lubrification du lardon gauche, sur le tuyau l’arrière il manque le dernier morceau.

Faudra voir pour refaire le morceaux manquant,derrière la trappe d’accès aux pignon j'ai trouver un morceaux de tuyau mais pas sure que ce soit celui qui manque puisque au bout il est fileté et le tuyau d'origine semble assemble avec des olives. J'ai aussi un doute sur la façon que la tuyauterie est suppose être raccorder au lardon gauche,de ce cote c'est juste un gros trou avec le tuyau qui est dedans.De l'autre cote sur le lardon droit c'est un montage différent avec une vis dans le trou et dans laquelle le tuyau passe.

La différence de montage peut être expliquer par le fait que le lardon droit est en dehors du compartiment de l’huile mais je m'attendrais a voir un montage similaire a gauche, Je ne suis pas sure si jeter de l'huile dans le sens du trou est suffisant pour la lubrification. Si quelqu'un qui possède le même étau limeur pourrait regarder comment le montage est fait j'en serais ravit.
Vous avez peut-être remarquer dans les premières photos que la majorité des plaques sont manquante. Pourquoi?, je ne sais pas mais j'aurais aimer tenter de les reproduire. Donc si quelqu'un pourrait me montrer a quoi elle devaient ressembler ce serrais l’idéal.
J'ai déjà essayer de faire quelques copeaux mais le barreau que le vendeur m'a donner pour faire de l'outillage n'est pas dure et n'a donc pas fait grand chose,je ne sais pas ce que c'est qu'il m'a donner mais ce ne semble pas être du HSS. Une deuxième tentative a été fait avec un foret casser mais difficile de tenir quelque-chose de rond mais j'ai réussi a faire un semblant de copeaux. Mes connaissances en usinage sont très limiter et je n'ai jamais fait de l'usinage a l’étau limeur ou tailler des outils donc je serrais très intéresser par tout ressource pouvant me guider pour apprendre a me servir correctement de l’étau limeur.

Salut

J'ai encore quelques outils en acier rapide neufs.

bonjour

les étaux limeur sont un peut boudé mais offre beaucoup de possibilité


bonne restauration

les doc doivent être dispos ce n'ai pas un modèle rare en principe les photo des plaque sont sur le manuel utilisateur


ici tu a des infos

https://passion-usinages.forumgratuit.org/t5773-sur-la-precision-de-l-etau-limeur


https://passion-usinages.forumgratuit.org/t829-doc-generale-sur-les-etaux-limeur-et-les-raboteuses-mortaiseuses

https://passion-usinages.forumgratuit.org/t2070-cincinnati-etaux-limeurs

Je serais bien intéresser pour quelques outils. Il s'agit de quoi exactement comme outil et pour combien tu voudrait me les céder?
J'ai trouver la notice de service https://passion-usinages.forumgratuit.org/t1071-cincinnati-el-205-el-305 mais je n'ai pas trouver de manuel utilisateur.
Comme tu dit et comme monter dans tes liens, un étau limeur est une machine qui peut faire beaucoup plus que d'usiner une surface plane et je compte a terme d'utiliser toute ces possibilités.

Je te ferai des photos. 

Les outils, je te les donne. Tu payeras juste le transport. Verifie quand même que tu peux monter des outils de 20 mm. 

L'utilisation d'un etau rameur n'a rien de sorcier. En surfaçage, il faut penser à incliner un peu l'outil dans le bon sens pour que sa trajectoire soit degageante. S'il est mal serré et qu'il se debine il n'y aura pas de casse. 

Et evidemment bien serrer l'etau. Le mieux c'est de bloquer à demeure une bride devant l'etau. S'il se debloque, il n'ira pas bien loin. 

Je n'ai plus utilisé d'etau-limeur depuis le college et de taboteuse depuis la terminale... L'interet principal de nos jours c'est la possibilité de mortaiser des rainures de clavette ou d'usiner des cannelures. C'est pour ça que seuls kes petits necsont pas partis à la ferraille.

25 mm les petits

32, le gros

L'utilisation d'un etau rameur n'a rien de sorcier......................mouais .......

On apprenait ça a des gamins de 14 ans. Comme le tournage et le fraisage d'ailleurs. 

Bien sûr, avec les annees on prend de l'experience, mais pour debuter c'est quand même bien plus facile que d'aller remplacer une valvule sur un coeur fatigué. Et ça, il y a des types qui un jour le font pour la première fois.  C'est juste un petit peu plus stressant, non ?

Je n'ai jamais opéré personne. Mais j'ai déjà ramassé des accidentés du travail. A un moment le doute arrive : et si j'etais en train de faire une connerie ? Quelles consequences sur la vie de la victime si je me trompe ? 

Là, on n'a pas le droit de se tromper. Mais on n'a oas beaucoup de temps pour agir.

j'ai  ironisé   un peut     du fait  de t"ont  sujet   sur  les annonces  LB  



mon  clavier  et  un peut  malade de vieillesse    et  me  mange  des lettres  de temps  à autres  sans parlé   de orthographe  pas  toujours   parfait   ça me fait  reprendre  plusieur  fois  un texte  ont  apprend  tous les jour   .........




il arrive  fréquemment   que l'ont  opère  à cœur  ouvert certaine machine   ............l'avantage    et que même si le cœur  s’arrête  
tu appuie sur le bouton  ça repart  sans  conséquences

Ah, c'est le rameur qui t'inquiète ? C'est ecrit exprès. 

C'etait comme ça qu'on appelait ces machines au lycée. En 1976. On ne les aimait pas beaucoup. On preferait les Gambin 10 N et les Vernier FV3, plus rapides, plus modernes, à nos yeux plus belles aussi parce qu'elles etaient neuves et blanches ou gris clair, alors que les etaux-limeurs et les vieilles Dufour etaient vertes (on disait "vert chiasse") comme tout le reste du mobilier et des machines de l'atelier à l'exception d'un seul tour semi auto Ernault Somua qui avait une peinture vert martelé et d'un autre peint en gris clair. 

Pas d'eclairage, pas de pompe d'arrosage, pas de pupitre plein de boutons et de voyants multicolores. Pour des amateurs de technologie, les etaux-limeurs nous paraissaient bons à envoyer au musée. D'ailleurs, les profs, tres mauvais vendeurs, nous avaient dit qu'il n'y en avait plus dans l'industrie. Pourquoi nous faisait-on travailler sur ces machines à ramer ? 

La mentalité des élèves n'a pas bien changé. Quand j'etais à l'ecole d'ingénieurs au debut des annees 2000, les jeunes n'avaient d'yeux que pour les centres 5 axes, les L. A. S. E. R. et les robots ASEA (que je connaissais bien parce que j'en avais installé 4 à l'usine.) S'ils avaient pu pisser sur les deux HB500 quasi-neufs et sur la MU6, ils l'auraient fait. Mais le mécanicien en charge de l'atelier du pôle productique ne les aurait certainement pas laissé faire. Lui, c'etait un vieux d'au moins 40 ans... 

Alors que moi c'etait justement les machines dont j'avais envie... J'etais "vieux" aussi...

Mais pas le plus vieux... 

Il y avait un type de 61 ans qui une fois retraité (en fait viré de GIAT industries, comme beaucoup d'autres) s'etait mis en tete de devenir ingenieur, juste pour le plaisir. 

Je ne sais pas s'il a fini par avoir son diplôme, mais il a raté pas mal d'examens qu'on a passés ensemble.