démolisseur

Par contre pour descendre la tête de la perceuse manuellement je n'ai pas trouvé et électriquement, évidemment il n'y a plus d'électricité

Si vous savez comment faire je suis preneur

Sinon j'envisageais de brancher un groupe électrogène, j'en ai sur le chantier

C'est une excellente option.

Pas d'électronique. Donc pas de risque avec le groupe.

Pour info, la fraiseuse est une Huron KU3

Bonsoir
En tout cas tes héritiers risquent de t'en vouloir à mort quand il faudra les évacuer !
J'ai vécu ce genre de situation lorsqu'il a fallu évacuer plus de 40 tonnes de machines d'un copain DCD.
@+

Cela dit, quand on est mort, les gens qui nous en veulent à mort, on s'en moque un peu....

Je dis ça, mais n'ayant pas d'enfant, c'est l'équipe de l'abbé Pierre qui va se taper le boulot...

marccoussac a écrit:Pour info, la fraiseuse est une Huron KU3

C'est quoi la différence entre une N et une K ?

Les M ont deux colonnes.

vous êtes dans quelle région?

cdlt JP

je suis en haute vienne
région bénie des dieux parce que loin de tout mais finalement pas tant que ça

Moi, le 86 et le 87, c'est un coin qui me plaît bien. Je suis souvent allé disputer des courses sur le circuit du Val de Vienne. Dans ce coin, il y a de l'espace, pas trop de béton, moins de radars que dans les régions plus peuplées (mais déjà trop...) Les routes sont quasiment désertes et plutôt bien entretenues. Et même en camion, on arrive à tirer des moyennes décentes. Ici, près de Lyon, plus moyen de circuler. On se croirait en région parisienne.

Mais le plus surprenant quand on vient d'une région très industrialisée et peuplée, c'est la pureté du ciel de la Vienne. La nuit on voit des myriades d'étoiles, comme c'était le cas dans la vallée du Rhône quand j'étais enfant. Maintenant la pollution lumineuse a tout bouffé...

Chaque fois que j'en ai eu l'occasion, je suis allé faire des promenades nocturnes. Même au voisinage d'une piste de compétition, la nature reprend ses droits. La nuit est vivante...

Les villages sont de vrais villages avec des ateliers d'artisans, des fermes et des paysans, pas des cités-dortoirs avec des centaines de baraques toutes pareilles avec leur garage, leur barbecue et leur piscine qui sortent tous de chez Casto-Merlin.

Et quand on voit le prix de l'immobilier, on n'a qu'une envie : vendre un appartement de 80 mètres carrès à Lyon pour acheter un hameau  entier là-bas.

Mais ces dernières années, j'ai vu l'horizon bien pourri par ces éoliennes qui bouffent tout. Comme c'est dommage.

Et j'oubliais ces noms de villages on ne peut plus pittoresques...

Eh bien moi j'ai franchi le pas
J'ai vécu plus de 50 ans en ville ou à proximité de villes dont 20 ans près de Sète où avec le temps j'avais remarqué que l'estime des gens devenaient directement proportionnelle à l'épaisseur du portefeuille
Je suis donc maintenant en pleine campagne, premier voisin à 500 mètres, mais finalement tout est plus simple
Pas de radar, pas d’embouteillage, pas de problème de parking
Bon la contrepartie, il faut une voiture mais bon j'aime ça

Et avoir de la place, c'est un luxe inestimable