Huile de coupe

Le défaut de la microlub en fraisage est que cela t'en met partout sur machine conventionnelle si on fait des matières comme certains alu cassants, c'est pour cette raison que j'ai laissé le liquide, sinon tu as tout-à-fait raison si on peut faire une enceinte autour du poste d'usinage, ce qui n'est pas mon cas.

Le défaut de la microlub en fraisage est que cela t'en met partout sur machine conventionnelle

C'est que le débit et la pression d'air est pas très bien ajustée .
Je trouve que ça "salope" moins les machines que le jet d'huile soluble .

Je n'utilise pas ce qu'on pourrait nommer de l'huile soluble je pense mais un fluide réfrigérant, cela sèche en laissant un très fine pellicule antioxydante.

Lorsqu'il faut retirer plus de 300-500 grammes-minute de métal en usinage conventionnel, on atteint les limites de la microlub que je connais, le problème est la taille des copeaux, rien à voir avec des copeaux de tour, là j'ai des copeaux qui ressemblent à une aiguille par exemple, et même en liquide il faut se protéger avec un écran supplémentaire.

Le système de microlub que j'utilise est basé sur le débit et pas la pression, ce n'est pas un sujet dont je suis spécialiste mais je sais que certains n'utilisent même pas d'air, tout dépend vraiment de la technologie d'usinage, avec un flycutter par exemple, on a des copeaux partout de toute manière sauf si l'on confine, je construis des écrans avec une base magnétique, on l'emballe dans un bout de plastique pour le nettoyage, et en les faisant assez petits il est possible de les mettre très près de la source d'émission des copeaux.

Pour une matière qui se travaille à sec comme le laiton de décolletage, j'avais filmé et on voit le jet de copeaux brisés qui finit à près d'un mètre cinquante de l'opérateur, là on agit très vite si il n'y a plus d'apprenti dans l'atelier pour passer derrière. .