Deus Ex Silicium : Keylogger électronique, ou comment se faire espionner à son insu

Bonjour
Même si techniquement ça existe je doute que l'installation de ces dispositifs concerne  bien les particuliers et leur micros
La détection d'un réseau WIFI qui retransmettrai ces informations est facile a faire .
Quand bien même cela serait  , il suffit de couper le petit fil blanc qui sert d'antenne au 2,4 ghz !       couic !
Et surtout le tri des informations collectées sur des milliards de claviers une tâche incommensurable dont la rentabilité pour Big Brother reste a démontrer . La conclusion du démonstrateur ne fait que confirmer ce que j'écris . Donc " no paranoïa" please .
@+

Salut
Vu la portéé wifi de ce truc là, pour un vieux campagnard comme moi, perdu au fond de sa cambrousse, pas de risque.
Par contre pour les systèmes logiciels ou matériels interrogeable par internet de l'autre bout de la planette, oui, il y a un risque
Mais bon, ça ne m'empêche pas de roupiller

C'est evidemment interdit (pour l'instant, mais avec Mc Rond et sa bande, ça ne durera peut-être pas), mais je pense qu'il y a déjà de nombreuses entreprises qui utilisent des dispositifs de ce genre pour surveiller les télé-travailleurs, et même les autres.

Les services informatique des sociétés ont acces au materiel, puisque c'est eux qui le fournissent. Il leur est facile d'installer ce genre de dispositif à l'insu des collaborateurs.

Pour les télé-travailleurs, un bon moyen de se defendre, c'est d'acheter un clavier et de ne pas utiliser celui qui est fourni par l'employeur.

Je connais au moins un cas où un chef d'entreprise (une PME) a piégé il y a une douzaine d'années un salarié qui la nuit regardait des films au lieu de faire son travail. Le salarié était fautif. Mais l'entreprise n'avait pas le droit d'exercer ce type de surveillance. Le patron qui savait pertinemment qu'il n'avait pas le droit d'utiliser ce genre de methode a été suffisamment rusé pour placer le salarié dans une situation où il a du démissionner pour éviter pire. Je ne vous expliquerai pas comment. Ça pourrait donner des idées à d'autres...

Sur ce coup-là, je me félicite que l'employé ait été contraint de partir. Mais je condamne la methode puisqu'elle est illégale.